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My memories

22 juin 2014

Une journée parfaite !

    Voilà, je viens de faire mon entrée en catéchuménat ce matin, à l'église Saint Urbain.. C'était un moment tellement magique ! Beaucoup de stress, mais aussi une grande émotion. ! Il y avait certains membres de ma famille, mon petit ami. En avancant dans l'allée, j'ai ressentis un sentiment de fierté, car ce n'est pas rien de vouloir se faire baptiser lorsque l'on est adulte. Je ne sais pas vraiment comment décrire cette journée. Il y a tant d'émotions qui me viennent, que je ne sais pas comment les exprimer.

Ce qui me rend triste en cette si belle journée, c'est que je suis , comme l'été dernier, séparée de la personne que j'aime, parce que nous ne travaillons pas dans les mêmes entreprises. Il y a presque une centaine de kilometres qui nous séparent lorsque nous travaillons. Je sais que nous pourrons être ensemble à certains moments, mais je n'ai vraiment pas envie d'être sans lui. Quand il n'est pas là, c'est comme si une partie de moi s'éteingnait, et que je ne pouvais plus rien ressentir, sauf de la tristesse.

J'ai vraiment hâte que la semaine soit terminée !

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22 mai 2014

L'art de voir la vie en rose avec un simple coup de fil

 Enfin ! J'ai eu mon code ! Si vous saviez à quel point le "tu as eu ton code" dit par la secrétaire m'a fait m'envoler sur un petit nuage ! J'ai tellement vécu de déceptions, que je n'osai pas y croire, mais cette fois c'est sûr, le vent tourne, peut-être que je vais commencer à vivre de beaux moments, à entendre de bonnes nouvelles. J'ai hâte de savoir ce que me réserve l'avenir. (notez que je fais preuve de confiance. Hallucinant, non ?)

21 mai 2014

Somewhere around someone

   J'ai toujours entendu dire que chacun de nous avait, quelque part, une place qui n'attendait que lui. Donc, il y a deux options: soit j'ai vraiment un ssens de l'orientation minable, soit il faut réellement que je commence à regarder le monde en me forcant à sortir de ma bulle.

Parfois, j'ai vraiment l'impression qu'aucun endroit n'est fait pour moi, que personne ne m'attend, que je n'ai pas ma place. Pourtant, cette place, cette personne, je les cherche. J'espère toujours qu'un jour, on me dira que je suis enfin arrivée, que je suis là où je dois être, et que ma vie va pouvoir réellement commencer. Je sais qu'on pourrait croire que je me morfond, et que je me complait dans la solitude et la tristesse, mais je vous assure que c'est loin d'être le cas. Je sais qu'à force de travail, je vais parvenir à trouver un équilibre. Personne ne me fera ma vie, personne ne me tendra la main. La chance n'existe pas, elle ne vient pas au hasard, il faut provoquer les évènements heureux, comme les malheureux. Après tout, ils ont tous leur utilité, leur finalité.

Si je pouvais, je partirai loin. Loin de tout et toutes les personnes que je connais. Il n'y a pas beaucoup de personnes qui ont de l'importance pour moi, mais je sais que je pourrais partir sans me retourner. Dans ma vie, j'ai vu tellement de personnes ne jamais revenir, et jouer avec moi, que je sais qu'il est possible de provoquer une rupture sociale en un claquement de doigts. Qui sait, peut-être qu'un jour je le ferai. Peut-être que je partirais, que j'irai loin d'ici et me construirai une nouvelle vie. Sans doute une vie relativement différente de celle que j'ai en ce moment. Quand la nostalgie s'installe et devient un quotidien, ce n'est qu'une vie en noir et blanc, qui ne change jamais. Toutes les personnes se ressemblent, chaque moment devient incroyablement plat et sans interêt. Parfois, il arrive que certains moments soient magnifiques, uniques, mais ils ne durent jamais, et laissent vite place à d'autres moments où l'ennuie règne en maitre.

15 mai 2014

On se met donc des limites inconsciement ?

  Il parait que quand les gens se sentent dépasser par une situation, ou que celle-ci est trop dure à accepter, ils se détachent complètement d'eux-même. A vrai dire, je ense qu'il ne faut pas grand chose pour se donner des limites, tout en mettant en place certaines barrières. Dans un sens, c'est grâce à ces dernières que l'on peut vivre certaines situations, accepter certains changements. Dans ce cas, on peut même dire que nous sommes les seuls responsables de ce qui nous arrive (attention, il ne faut pas non plus aller dans les extrêmes). Mais nous pouvons parfaitement agir sur certains paramêtres. Alors de tout voir en négative, et pensons d'abord à nous. Car, si nous savons ce que nous voulons, ce que nous pouvons accepter, il nous sera plus simple de faire face.

Aux armes citoyens de notre univers ! Il faut se mettre en marche et prendre les choses en main, notre vie en dépend, notre bonheur en dépend !

14 mai 2014

Se sentir seul parmis la foule

   A certains moments, j'ai l'impression de ne littéralement pas exister. On dirait que je suis une personne en noir&blanc dans un monde en couleurs.

Il y a de cela pas très longtemps, j'ai rencontré une personne formidable, qui me donnait l'impression d'exister, j'étais vraiment heureuse, je me sentais comprise, considérée, en sécurité. Mais seulement, chaque chose en ce monde est éphémère. Ces sentiments, pourtant si formidables et magnifiques, disparaissent avec le temps. Plus le temps passe, et plus je me sens de nouveau seule, et peu à peu abandonnée. J'espérai ne jamais ressentir cela une nouvelle fois, mais on dirait que je me suis trompée. Peut être que c'est ma destinée, que je suis faite pour être seule. Mais peut être aussi qu'un jour je trouverais une personne avec qui rester, qui ne m'abandonera pas pour des motifs qui ne sont pas valables, une personne qui ne voudra rien d'autre que passer du temps ensemble, une personne qui me donnera toujours l'impression de compter. Peut-être qu'un jour, mon univers ne sera plus si froid et vide, mais entrera en colision avec un autre univers, qui pourra m'apporter de la chaleur, et des couleurs.

Car, les couleurs étaient là, mais elles disparaissent lentement, et je ne peux que regarder ce bel univers se détacher du mien, et s'éloigner. Certaines frontières ont été recrées, elles ne disparaitront certainement plus...

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5 avril 2014

Peut-être une éclaircie dans un ciel orageux ?

  C'est bon, je me suis lancée. J'ai toujours plus ou moins penser à me faire baptiser. Et voilà, c'est en marche.

Il y a deux semaines environ, je suis allée à la Paroisse Saint Bernard, où j'ai fait une demande de baptême. Le samedi de la même semaine, j'ai pu rencontrer le Père Thibord, ainsi qu'une Soeur, deux jeunes voulant la même chose, et Emilie, une charmante dame qui m'accompagnera peut être pendant mon parcours.

J'avoue pas mal douter depuis près d'une semaine. Je me demande si j'arriverai à mener ce projet jusque son terme, si je n'abandonnerai pas en cours de route We'll see.... J'ai tellement peur de ne pas réussir, de ne pas faire les choses comme elles devraient être faites ! A vrai dire, je ne sais pas vraiment par quoi commencer, ni par où débuter ce long chemin. J'aimerai demander conseil à Emilie, mais encore une fois, je ne sais pas comment lui confier mes craintes. A vrai dire, je ne sais pas à qui je pourrais parler, ni me confier Et pourtant, j'en aurai grand besoin.

1 février 2014

Vivre avec son passé, l'incorporer dans son présent, le regretter pour son futur.

   Même avec les meilleures intentions du monde, nous ne pouvons jamais vraiment oublier notre passé. Il revient nous hanter, dans notre vie actuelle, créant alors des moments de doutes, des moments de crises. Et parfois, lorsque nous ne sommes plus capable de faire la distinction entre le bon et le mauvais aspect de notre passé, tout s'ebrouille et certaines situations pourtant simples, deviennent compliquées, voir insurmontable. Parce que peu importe comment on s'arrange pour oublier notre passé, celui-çi revient toujours pour nous hanter, et nous rappeler qu'au fond, nous ne sommes pas si déffiérent d'il y a quelques années.

28 janvier 2014

La vie n'est qu'une répétition de scènes et d'émotions, toujours pareilles, avec la même intensité. Nous sommes et resterons.

Vous n'imaginez pas le nombre de fois où j'ai pu avoir cette impression de solitude, qui ne cesse de venir encore et encore. J'ai éssayé tout un tas de "trucs et astuces" pour ne plus ressentir ça. Parfois c'est concluant, je vais carrément mieux! Mais bon, voilà que cette passade est de retour. Je sais qu'elle ne va pas durer. Mais disons que ces derniers temps, j'ai perdu pas mal de monde dans mon entourage. La plupart de ces personnes étaient ma famille. Nous nous sommes éloigné, et je croyais naïvement que je comptais, ne serait-ce qu'un minimum, pour eux, et qu'ils reviendraient. Mais non. Ils ne reviennent pas, et ne reviendrons jamais.

Dans un sens, c'est un mal pour un bien. Être avec eux me détruisait petit à petit. Mais voilà. Je ne compte pas pour eux. Mon père, après les évènements de ces derniers mois, n'a eut de cesse de répéter que je n'étais qu'une erreur, et qu'il vivrait mieux sans moi. Ma mère, pour qui j'ai été présente, considérait une quasi inconnue comme sa fille, me délaissant petit à petit, pour finir par ne plus me parler. Je lui ai dis que je ne pouvais plus la soutenir, que je devais respirer avant de me noyer. Sans le savoir, j'ai mis fin à notre relation, que je croyais solide, et que l'on pourrais reprendre après une courte pause. Mais non, sa fille n'est pas assez importante, elle sait vivre sans. Quant à mes grands-parents, ils ne me parlent plus depuis deux mois, car me tiennent pour responsable de tout ce qui s'est passé entre mes parents (leurs séparations, leurs désaccords, etc.).

Même si je n'étais pas fusionnelle avec toutes ces personnes, j'aurai fait n'importe quoi pour elles. J4aurai soulevé des montagnes, décroché la lune, et bien d'autres, juste pour les rendre heureuses. Mais ce n'était pas réciproque. Je n'étais pas assez importante.

Ces derniers temps, je me sent toujours fatiguée. Mais c'est surtout que je ne sais plus vraiment où j'en suis, qui croire, ce que je dois faire, etc. Je crois que personne ne m'aidera. J'ai été présente pour beaucoup de personnes, mais elles, ne seront pas là pour moi. Je ne suis pas malheureuse, ni totalement seule. Je sais qu'une personne est là, qu'elle pourrait me soutenir. Mais le seul problème, c'est que je ne suis pas sûre qu'il comprenne la situation, ni ce que je ressent. "Mais qu'est-ce que je dois faire?" est sûrement ce qu'il dira.

WAIT AND SEE....

...OR DIE......

.....ALONE.

12 janvier 2014

Prendre du recul pour respirer.

   Pour beaucoup, la famille est quelque chose de très important. Elle est là aussi bien dans les bons moments, que dans les mauvais moments. Elle nous aide à trouver notre voie, à nous guider durant notre vie, à grandir. Mais voilà, lorsqu'une famille commence à se déchirer, ce sont souvent les enfants qui en paient les conséquences. Je pense que vous avez dû le remarquer au cours de ces dernières années, avec le taux de dvorce qui ne cesse d'augmenter. Enfin bref. Une fois la famille éclatée, les enfants n'ont pas vraiment d'autre choix que de choisir un "camp". Parce que oui même si les parents essaient de rester en bons termes, bien souvent les enfants ne peuvent faire autrement que de choisir. Dès lors, c'est un peu l'enfer, surtout si les parents sont comme les miens, de grands ados qui se servent de la situation de conflit et un peu de leurs enfants pour mener une gue-guerre toute à fait ridicule et stupide.

Seulement, lorsqu'il est impossible de rester une seconde de plus avec sa famille, parce qu'elle dégage une aura tellement négative que cette dernière influence de manière néfaste votre vie personnelle, il n'y a pas d'autre solution que de prendre du recul.

Et lors d'une prise de recul, la seule chose à faire pour l'entourage est de laisser du temps et de respecter la décision de la personne, s'ils souhaitent ne pas perdre complètement et définitivement la personne. Et pour ma part, c'est de ça que je rêve. J'aspire à un recul total, à une période de vide, autrement dit, à ce qu'on me fiche la paix. Être présente pour soutenir ma famille n'a pas été facile, mais je n'ai pas baissé les bras. Seulement maintenant, je ne peux plus continuer comme cela, surtout quand les personnes concernées deviennent toutes plus hypocrites les unes que les autres. Couper les ponts n'est pas une décision sans conséquences, mais voilà, je ne vois simplement pas quoi faire d'autre.

Alors je suis désolée, mais j'ai un besoin urgent de respirer, et de protéger ma vie privée des conséquences de cette absurde querelle familiale.

9 janvier 2014

Les incidences de la vie privée, sur l'ensemble de notre vie.

    Qu'on le veuille ou non, les petits tracas de la vie privée (familiale, sentimentale) ont beaucoup d'impacts sur le reste de notre quotiden. Parfois, une micro-dispute avec son amoureux peut entrainer une légère distraction à son travail, et là, BOUM! c'est le mini drame assuré. Parfois, il ne suffit vraiment pas de beaucoup de choses pour se laisser distraire. Mais avouez-le, vous avez bien plus de chances de vous laissez distraire par une mini dispute, que par le chat qui vient sans cesses squatter le rebord de fenêtre à votre bureau. Je me trompe ?

Mais alors, comment faire pour ne pas se laisser distraire, et réussir à passer outre ? Comment penser à autre chose alors que ce petit truc chiant monopolise toutes vos pensées ?

Et bien évidemment, il faut toujours que ca parte en catastrophe, ce qui fait que même le reste de votre vie privée s'en trouve affectée ! Bin oui, c'est tellement mieux comme ça. *ironie*

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